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Les paysages de la CAHC et plus généralement du bassin minier sont jalonnés de témoins de l’exploitation minière. Les plus emblématiques et symboliques sont aujourd’hui réhabilités en leur attribuant une dimension culturelle (9-9bis, Louvre, terrils). Mais la réhabilitation de ces éléments est considérée par les acteurs de la CAHC comme un enjeu à l’échelle intercommunale alors que leur rayonnement pourrait se faire à l’échelle de l’AML, comme le considèrent les acteurs régionaux.

La problématique de la représentation culturelle des éléments du passé minier par les usagers de l’AML se pose. Si les éléments du passé minier peuvent représenter un énorme potentiel de valorisation, ils sont encore considérés par les habitants de manière péjorative, qu’ils soient de Lille ou du bassin minier.

 

- Est-il souhaitable que les éléments du patrimoine local profitent aux usagers de l’AML ?

 

- Comment faire évoluer la représentation négative du passé minier ?

 

- Le patrimoine minier se résume-t-il à ces éléments emblématiques principaux ?

 

- La valorisation du passé minier ne doit-elle pas être considérée de manière globale, incluant également les éléments «secondaires» (chevalements, cités minières, corons, etc.) ?

 

- Comment relier les éléments du patrimoine minier au territoire de l’AML pour leur attribuer une dimension régionale ?

Valorisation des éléments intercommunaux du patrimoine culturel à l’échelle de la métropole

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